Combien de broches numériques possède l’arduino one ?
L’Arduino Mega est une carte microcontrôleur, basée sur le microcontrôleur ATmega2560P d’Atmel. L’ATmega2560P est livré avec un chargeur de démarrage intégré qui permet de flasher très facilement la carte avec votre code. Comme toutes les cartes Arduino, vous pouvez programmer le logiciel qui fonctionne sur la carte en utilisant un langage dérivé de C et C++. L’environnement de développement le plus simple est l’IDE Arduino. Le tableau suivant contient la fiche technique de la carte microcontrôleur :
L’ATmega2560 du Mega 2560 est préprogrammé avec un chargeur de démarrage qui permet de charger un nouveau code sans avoir besoin d’un programmateur matériel externe. Il communique en utilisant le protocole original STK500 (référence, fichiers d’en-tête C).
Le Mega 2560 est doté d’un polyfusible réinitialisable qui protège les ports USB de votre ordinateur contre les courts-circuits et les surintensités. Alors que la plupart des ordinateurs fournissent leur propre protection interne, le fusible offre une couche supplémentaire de protection. Si plus de 500mA sont appliqués au port USB, le fusible coupe automatiquement la connexion jusqu’à ce que le court-circuit ou la surcharge soit éliminé.
Arduino mega 2560 r3
Excellente carte Arduino, dont l’architecture est similaire à celle de l’UNO mais qui est améliorée en tous points. La carte de gauche (modèle www.arduino.cc) et celle du bas (modèle de la carte récemment absorbée www.arduino.org) sont les deux modèles originaux. Il existe également différents modèles fabriqués par des tiers qui fonctionnent tout aussi bien à un prix légèrement inférieur.
Ce modèle Ardunio est équipé du microcontrôleur ATMega2560 (datasheet). Il possède 54 broches d’entrée/sortie numériques dont 15 peuvent être utilisées comme sorties PWM (Pulse Width Modulation), 16 broches d’entrée analogiques, fonctionne à une vitesse d’horloge de 16Mhz, dispose d’une entrée d’alimentation externe via un jack 5,5/2,1mm (positif interne) ou via le connecteur USB, d’une connexion périphérique via le port ICSP, de 4 USART (ports série matériels) et d’un bouton de réinitialisation intégré.
Si nous avons besoin de cet espace mémoire ou si nous ne voulons simplement pas utiliser le bootloader, nous pouvons le supprimer et programmer le MCU directement à partir du port ISP en connectant la carte Arduino au programmateur ISP et le programmateur ISP à l’ordinateur via un port USB. Dans ce cas, lors de l’allumage ou de la réinitialisation de la carte Arduino, le programme chargé dans la mémoire est toujours exécuté sans délai ni attente.
Fiche technique de l’Arduino mega
Les données transférées du programme à la fonction sont appelées paramètres, il peut y en avoir un, plusieurs ou aucun, et de différents types (à l’exception des fonctions telles que setup() et loop() qui n’utilisent pas de paramètres).
Le langage Arduino comprend une série de fonctions qui sont incluses directement dans la bibliothèque de base (“Core”) et que nous pouvons utiliser sans autre forme de procès. Ces fonctions peuvent être regroupées en différents types :
Cette fonction configure la broche spécifiée pour agir comme une entrée ou une sortie numérique (voir la description des broches numériques de l’Arduino pour plus d’informations sur la fonctionnalité de ces broches). Depuis la version 1.0.1 d’Arduino, il est possible d’activer les résistances pullup internes de l’Arduino avec le mode INPUT_PULLUP. D’autre part, le mode INPUT désactive explicitement les résistances pullup internes.
Si la broche a été configurée comme OUTPUT avec la fonction pinMode(), sa tension sera fixée à 5V (ou 3.3V sur les cartes 3.3V) si elle est activée (HIGH) ou 0V (masse) si elle est désactivée (LOW).
Arduino mega pinout
Tout d’abord, il est important de rappeler que les ports d’un microcontrôleur 8 bits ont le même nombre d’entrées/sorties, c’est-à-dire huit lignes. Cela suggère que l’ATmega328P, qui possède trois ports (B, C et D), dispose de 3 x 8 = 24 lignes d’entrée/sortie. Cependant, lorsqu’il est utilisé sur un Arduino, ce n’est pas le cas, comme nous allons le voir.
Le PORTB (port B) a deux lignes d’entrée/sortie occupées qui sont utilisées pour connecter le cristal de l’oscillateur. Ces broches, PORTB bit-6 et PORTB bit-7, peuvent être laissées libres si la puce est configurée pour utiliser l’oscillateur interne, mais cette option ne peut pas être utilisée sur l’Arduino car son système est déjà basé sur la vitesse du cristal de 16 MHz, et le cristal est soudé à ces broches sur le circuit imprimé.
Le PORTC a deux bits qui ne sont pas disponibles, l’un d’eux, le PORTC bit-6 est utilisé comme une entrée RESET, et l’autre bit (7) n’est pas câblé à l’extérieur de l’ATmega328P avec capsule PDIP qui vient se brancher dans le socket de l’Arduino Uno R3, parce qu’il n’a pas assez de lignes disponibles dans son paquet de 28 broches. Et lorsqu’il s’agit d’une puce TQFP 32 broches pour montage en surface (comme sur l’Arduino Nano et certains clones de l’Arduino Uno), les deux lignes manquantes sont dédiées au convertisseur analogique-numérique (ADC6 et ADC7) et ne sont pas des broches d’entrée/sortie numériques.